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Cлово "CONSIDERATION"

Часть текста: копировальной книги, хранящемуся в AЧ. Местонахождение автографа неизвестно. О первой публикации см. ниже. Ответ на письмо Леопольда Ожара (Leopold Aujar), корреспондента парижской газеты «Le Figaro» от 31 августа н. ст. 1899 г. (перевод с французского): «Глубокочтимый учитель [Vénéré Maître], я буду иметь честь в скором времени печатать в Париже сборник неизданных писем нескольких наших больших писателей, ответивших мне на мой запрос. Для примера приведу лишь имена Анатоля Франса и Элизе Реклю. Эти письма отвечают на один тревожный вопрос, страстно волнующий в настоящее время всех тех, взоры которых стремятся найти то, чтò выше мелких человеческих распрей, т. е. Добро. Этому великому слову долженствовало бы стать бессмертным заветом, запечатленным на челе человечества. По моему мнению, вопрос этот не только волнующий, но чрезвычайно серьезный, и таковым его считают те выдающиеся люди, от которых я получил многочисленные ответы. Вот этот вопрос: имеет ли общество право наказывать? Я хорошо знаю, что существует право общественной защиты, но вот, например, анархисты, покушающиеся на...

2. Толстой Л. Н. - Рабба (Rabbat), 12 февраля 1909 г.

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Часть текста: (Rabbat), 12 февраля 1909 г. 72. Рабба (Rabbat). 1909 г. Февраля 12. Я. П. Cher Monsieur, Je m’empresse de vous envoyer ce que vous désirez 1 et vous prie de recevoir l’assurance de ma parfaite considération. Léon Tolstoy. 25 Febr. 1909. On n’aime véritablement que ce qui est parfait. Il faut donc pour éprouver le véritable amour ou bien attribuer la perfection à l’objet de notre amour ou bien aimer le seul être parfait — Dieu. Léon Tolstoy. Милостивый государь, Спешу послать вам то, что вы просите, 1 и прошу принять уверение в совершенном уважении. Лев Толстой. 25 февр. 1909. Истинно любить можно лишь совершенство. Следовательно, чтобы испытывать настоящую любовь, надо или приписывать совершенство предмету своей любви, или любить единствено совершенное существо — бога. Лев Толстой. [Черновое] 25 Febr. 1909. Cher Monsieur, Je m’empresse de vous envoyer ce que vous désirez, et vous prie de recevoir l’assurance de ma parfaite considération. Léon Tolstoy. 1) Il n’y a au monde rien de plus certain que la mort qui attend chaque homme, et cependant tous les hommes vivent comme s’ils étaient pleinement convaincus que la mort n’est qu’une fiction. 2) La mort comme la naissance fait partie intégrante de la vie. Si la vie est un bien, la...

3. Толстой Л. Н. - Ван Дейлю Г. Ф. (G. F. Van Duyl), 18 ноября 1895 г.

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Часть текста: d’y répondre, mais différentes petites circonstances m’en ont empeché jusqu’à ce jour. Hier j’ai reçu votre seconde lettre et je m’empresse de répondre. Les lettres comme la vôtre, qui me prouvent que les idées qui non seulement me sont chères, mais forment une partie de mon être, produisent les mêmes sentiments dans le coeur des autres, — sont la plus grande joie de ma vie. La difficulté que vous avez rencontrée dans la réponse du jeune homme qui voudrait suivre les exigences de sa conscience et en même temps sent l’impossibilité d’abandonner et d’affliger sa mère, est une difficulté que je connais et à laquelle il m’est arrivé de répondre plusieurs fois. La doctrine chrétienne n’est pas une doctrine qu’exige certaines actions, l’observance ou bien l’abstinence de certaines actions; la doctrine chrétienne n’exige rien de ceux qui veulent la suivre, elle ne consiste que, comme le dit le mot «évangile», dans la connaissance du vrai bien de l’homme. Une fois que l’homme a compris et s’est pénétré de l’idée que son véritable bien, le bien de sa vie éternelle, celle qui ne se borne pas à ce monde, consiste dans l’accomplissement de la volonté de Dieu et que commettre un meurtre ou bien se préparer au meurtre, comme le font les...

4. Толстой Л. Н. - Ван Дейлю Г. Ф. (G. F. Van Duyl), 23 августа 1896 г.

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Часть текста: de monsieur Vanderver. 1 Je vous remercie pour vos félicitations, mais je vous prie de m’excuser pour la sincérité avec laquelle je me crois obligé de vous dire les raisons, pour lesquelles je n’ai pas répondu à vos précédentes lettres. 2 Vous attribuez à ma personnalité et à mes écrits une valeur que je ne leur attribue pas moi-même, et pour vous parler franchement, les choses trop flatteuses que vous me dites, me sont des plus désagréables. J’espère que vous ne me garderez pas rancune pour ma franchise, et ne cesserez pas de m’informer des choses intéressantes qui se passent dans votre pays, telles que celles dont vous venez de me faire part. Et pour commencer, je vous prie d’avoir l’obligeance de remettre la lettre ci-jointe à Mr. Vanderver. Ce que Mr. Vanderver vient de faire a selon moi une immense portée. Jusqu’à présent tous les refus au service militaire ont été motivés par des raisons de croyance religieuse, et ont été expliqués par les gouvernements comme les produits d’un fanatisme sectaire, tandis que le refus de Vanderver, qui ne se dit pas même chrétien (probablement dans le sens que les églises accordent généralement à ce mot, au fond, je crois qu’il l’est plus que tous les évêques qui vont désavouer son action), ne donne au gouvernement aucun...

5. Толстой Л. Н. - Хану Мирзе Риза (Mirza Riza Khan), 10 (23) июля 1901 г.

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Часть текста: poème. Il est du plus haut intérêt et je crois que la propagation des idées qu’il contient sera d’une grande utilité non seulement pour le peuple persan, mais pour les hommes de tous les continents. Je partage parfaitement l’idée émise par le dernier orateur — l’Oriental, que pour remédier au mal il faut en trouver la cause et tâcher de la supprimer. L’Oriental dit que la cause du mal est l’égoïsme et l’ignorance, mais je voudrais ajouter seulement au mot ignorance — l’ignorance de la vraie religion. Sous le terme de vraie religion j’entends une religion à la portée de tous les hommes, fondée sur la raison commune à tous les peuples et à cause de cela obligatoire pour tous. Le principe de cette religion est exprimé dans l’evangile par ces mots: «Fais à autrui ce que tu voudrais qu’on te fît. Ceci est la loi et les prophètes». Si seulement ce principe était reconnu comme unique principe religieux pour tous les hommes, l’égoïsme qui est prêt à sacrifier le bien de son prochain pour atteindre à ces fins disparaîtrait de soi-même. De sorte que je reconnais comme cause du mal en général et des guerres en...

6. Толстой Л. Н. - Ролcтону Вильяму (William Ralston), 27 октября 1878 г.

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Часть текста: you a satisfactory answer to your letter. The reason of it is, that I very much doubt my being an author of such importance as to interest by the incidents of my life not only the Russian, but also the European public. I am fully convinced by many examples of writers, of whom their contemporaries made very much of and which were quite forgotten in their lifetime, that for contemporaries it is impossible to judge rightly on the merits of literary works, and therefore, notwithstanding my wishes, I cannot partake the temporary illusion of some friends of mine, which seem to be sure, that my works must occupy some place in the Russian literature. Quite sincerely not knowing, if my works shall be read after hundred years, or will be forgotten in a hundred days, I do not wish to take a ridiculous part in the very probable mistake of my friends. Hoping, that on consideration of my motives you will kindly excuse my refusal, I am Yours faithfully C. L. Tolstoy. На конверте: Лондон. Г-ну Ралстону. London. M-r Ralston. Exquire. 8 Alfred Place. Bedford Square. Милостивый государь. Я очень сожалею, что не могу дать на ваше письмо положительного ответа. Дело в том, что я очень сомневаюсь, чтобы я был таким значительным писателем, события жизни которого могли бы представлять интерес...

7. Толстой Л. Н. - Шрёдеру Феликсу (Felix Schroeder), 20 (21) мая 1893 г.

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Часть текста: traduction des 4 évangiles — avec commentaires et explications vous a été inconnu, comme il l’est en général au public étranger. Cet ouvrage, éctit entre 1879 et 1882, vient d’être publié pour la première fois en Genève en russe et n’a jamais été traduit. 1 Un extrait de cet ouvrage a été traduit et publié en France dans la Revue Nouvelle il y a de cela près de 10 ans. 2 Je regrette beaucoup que ma femme, parmis les renseignements qu’elle vous a communiqué[es], ne v[ou]s ait pas parlé de cet article. Cependant, malgré l’absence de cet écrit — le plus important pour se former une idée claire de mon point de vue — vous avez exposé avec tant de justesse le sens principal de la doctrine chrétienne, que je n’ai rien à redire dans cette exposition. Je n’ai que deux remarques à faire: 1) C’est la date que vous fixez à l’écrit «Marchez dans la lumière» et l’importance que vous attachez à cet écrit, que je n’ai jamais publié. Cet écrit n’est qu’une ébauche que j’ai abandonné deux ans avant «La sonate à Kreutzer». 3 2) C’est l’opinion que vous émettez sur l’influence qu’ont du avoir sur moi les idées religieuses de Sutaieff et Bondareff. Je crois que c’est dans «Que faire?» que pour donner un exemple frappant de la nullité des effets produits par la littérature scientifique, j’ai dit quelque part qu’aucun écrit pendant tout le cours de ma vie n’a eu sur moi autant d’influence que les idées de deux paysans qui à peine savent lire et...

8. Толстой Л. Н. - Президенту Общества итальянских артистов (Al Presidente del Associazione degli Artisti Italiani), 27 февраля 1909 г.

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Часть текста: Толстой Л. Н. - Президенту Общества итальянских артистов (Al Presidente del Associazione degli Artisti Italiani), 27 февраля 1909 г. 100. Президенту Общества итальянских артистов (Al Presidente del Associazione degli Artisti Italiani). 1909 г. Февраля 27. Я. П. Cher Monsieur, J’envoie pour votre numéro Unico un article que je viens d’écrire. 1 Je désire fort qu’il vous convienne et reçoive votre approbation. Je me sens obligé cependant de vous signaler une certaine condition qui se rapporte à tout ce que j’ai écrit et publié depuis 1881. En 1891 j’ai renoncé à mes droits de propriété à tout ce que j’ai écrit et écrirai depuis 1881 de sorte que chacun à présent a le droit de republier tous mes écrits postérieurs à 1881 ce qui se rapporte naturellement aussi à l’écrit que je vous envoie. Recevez, je vous prie, cher Monsieur, l’assurance de ma parfaite considération. Léon Tolstoy. 1909, 12 Mars. Милостивый государь, Посылаю для вашего сборника Unico только что написанную статью. 1 Очень желал бы, чтобы она пригодилась вам и получила ваше одобрение. Вместе с тем считаю своим долгом отметить одно условие, которое относится ко всему, что я написал и издал после 1881 г. В 1891 г. я отказался от своих прав собственности в отношении всего, что написал и напишу с 1881 г. Так что в настоящее время каждый имеет право переиздавать мои сочинения, вышедшие после 1881 г., что, само собой разумеется, относится и к тому, что я, вам посылаю. Примите, милостивый государь, уверение в совершенном уважении. Лев Толстой. 1909, 12 марта. Примечания Печатается по коппи рукой H. H. Гусева, вклеенной в копировальную книгу № 8, л. 520. См. письмо № 33 1 «Разговор отца с сыном». См. т. 37. На письмо Толстого президент общества Д. Гаутман отвечал письмом от 23 марта нов. ст.: «От лица «Associazione degli Artisti Italiani» приношу вам глубокую благодарность за присылку рассказа в пользу пострадавших от землетрясения».

9. Толстой Л. Н. - Постель Ф. Е. (F. E. Postel), 6 (19) мая 1901 г.

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Часть текста: Л. Н. - Постель Ф. Е. (F. E. Postel), 6 (19) мая 1901 г. 78. Ф. Е. Постель (F. E. Postel). 1901 г. Мая 6/19. Москва. Cher Monsieur, Votre lettre m’a trouvé en train d’écrire un article sur l’éducation en général et particulièrement sur l’éducation religieuse, 1 qui selon moi doit être la base non seulement de l’éducation proprement dite, mais aussi de l’instruction. C’est vous dire que j’ai lu votre lettre et votre programme avec le plus grand intérêt et que je suis très content de pouvoir vous signifier mon adhésion complète à la ligue que vous fondez et mon désir de contribuer selon mes moyens au développement des idées saines sur l’éducation. Recevez, Monsieur, l’assurance de toute ma considération. Léon Tolstoy. 19 Mai 1901. Милостивый государь, Ваше письмо застало меня за писанием статьи ...

10. Толстой Л. Н. - Реклю Элизэ (Elisée Reclus), 20 июня (2 июля ) 1900 г.

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Часть текста: писаний всем, кто пожелал бы их издавать. Перевод Каминского, я полагаю, наиболее полный и точный. 1 Мне приятно, что я могу быть вам полезным. Примите, милостивый государь, уверение в моем совершенном уважении. Лев Толстой. 2 Июля 1900. Примечания Печатается по копировальной книге № 3, л. 28, хранящейся в ГТМ. Местонахождение автографа неизвестно. Основание датировки см. в прим. к письму № 318. В России публикуется впервые, о публикации за границей сведений не имеется. Элизе Реклю (Elisée Reclus) (1830—1905)) — французский географ и теоретик анархизма, профессор географии в Брюсселе. Толстой ответил на его обращение от 20 июня н. ст. 1900 г. Письмо и подпись Реклю отпечатаны на пишущей машинке на бланке: «Université Nouvelle. Institut géographique» [«Новый университет. Географический институт»]. Текст письма (перевод с французского): «Дорогой и глубокоуважаемый граф [Cher et très honoré Monsieur], кое-кто из моих друзей хотели бы напечатать здесь, в целях пропаганды, несколько отрывков из Вашей книги «Воскресение» под тем же заглавием или под другим, аналогичным ему:...

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