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Cлово "DEMON"


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1. Abrégé de l’Evangile (Краткое изложение Евангелия)
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2. Толстой Л. Н. - Ергольской Т. А., 28 декабря 1851 г.(3 января 1852 г.)
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3. Война и мир. Черновые редакции и варианты. К тому I, части 1, страница 1
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4. Толстой Л. Н. - Ергольской T. A., 29 октября 1852 г.
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5. Letter to a Hindoo (Письмо к индусу)
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1. Abrégé de l’Evangile (Краткое изложение Евангелия)
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Часть текста: et il l’enseignait au peuple. Matt . IX, 35, 36. II disait: les bienheureux ne sont pas ceux qui sont rassasiés, qui sont riches, qui sont joyeux et glorieux parmi les hommes , mais bienheureux sont les (gueux) les pauvres, bienheureux sont les humbles, bienheureux ceux qui pleurent, ceux qui sont débonnaires, ceux qui cherchent la vérité, bienheureux les miséricordieux, ceux qui sont purs de coeur, bienheureux ceux qui donnent la paix , bienheureux ceux qui sont persécutés pour la justice, ils sont bienheureux, quand même on les injurie et quand on les persécute. Réjouissez vous si le monde vous injurie et vous persécute pour la vérité: on a persécuté de même les prophètes. Mais malheur à vous les rassasiés, les riches , vous qui riez et qui êtes glorieux parmi les hommes . Vous possédez les biens que vous recherchiez. Mais vous savez que les malheurs de ce monde vous attendent. Matt . V, 1 — 12. Luc. VI,...
2. Толстой Л. Н. - Ергольской Т. А., 28 декабря 1851 г.(3 января 1852 г.)
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Часть текста: puisque Dieu merci, je n’en ai pas encore éprouvé; mais c’est un guignon étonnant, qui me poursuit toujours et partout. — Je n’ai qu’à me rappeler les désappointements, que j’ai éprouvés dans le хозяйство, mes examens commencés et que je n’ai pas pu terminer, la mauvaise chance, continuelle, que j’ai eu quand j’ai joué et une quantité d’autres plans, qui ont tou[t]s manqué. — J’avoue, que dans la plupart de ces revers dont je me plains je puis m’accuser moi- même autant que la fortune; mais il n’en est pas moins vrai, qu’il existe un petit démon, qui s’occupe continuellement à me faire des vexations, et faire échouer toutes mes entreprises. — Votre excellente lettre (à laquelle j’ai repondu le même jour)1 a en effet été suivie de près de l’argent que j’attendais d’André. — Après avoir payé mes petites dettes, pris une подорожная, quatre jours après, j’étais prêt à partir; mais comme le même jour (le 19 Décembre) devait arriver la poste de Кизляръ, je me suis dit...
3. Война и мир. Черновые редакции и варианты. К тому I, части 1, страница 1
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Часть текста: I—VI). В начале 1805-го года первая европейская коалиция против Буонапарте была уже составлена.[847] — Eh bien, mon prince, que dites vous de la nouvelle atrocité de cet homme. Italie n'existe plus. Non, mais comment expliquez vous l'indifférence de l'Europe à la vue de toutes les horreurs qui se commettent impunément au temps que nous vivons. Direz vous encore que la guerre n'est pas un devoir d'honneur pour tous ceux qui ont conservé un reste de dignité. Bientôt ce sera le tour de la Hollande, de Rome, que sais-je. Il n'y a plus de foi, plus de rois, plus de justice . Je vous préviens que si vous ne me dites pas que nous avons de bonnes nouvelles de Haugwitz et que [nous] aurons la guerre et la guerre à outrance avec ce monstre, cet antichrist — ma parole d'honneur j'y crois — si vous ne me dites pas que nous avons la guerre, si vous vous permettez encore de pallier toutes les infamies de cet homme, ce n'est pas un homme, que dieu me pardonne, c'est pire — je ne vous connais plus, vous n'ètes plus mon ami, мой верный раб, comme vous dites. Ah, si j'étais homme!![848] — Ну здравствуйте, здравствуйте. Je vois que je vous fais peur.[849] Хотите чаю? Так говорила фрейлина и приближенная императрицы Марьи Федоровны, отпросившаяся от службы...
4. Толстой Л. Н. - Ергольской T. A., 29 октября 1852 г.
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Часть текста: 100 fois, elles font époque pour moi. — Ecrivez moi souvent, chère tante. — J’ai un petit reproche à vous faire; pourquoi montrez vous les lettres que je vous écris? Je vous ai dit et vous ai écrit qu’il n’y a personne que j’aime autant que vous et que je suis persuadé que je ne suis véritablement aimé que de vous: voila pourquoi les lettres que je vous écrit son différentes de celles que j’écris aux autres et que je ne voudrai[s] pas que tout le monde les lise. Le démon, qui s’est chargé de faire manquer toutes mes entreprises continue son ouvrage. Hier J’ai reçu un papier d’après lequel — je ne pourrais être avancé avant 2 ans à compter d’aujourd’hui. Cette nouvelle m’a donné du chagrin. L’heureux moment de vous revoir, que je croyais venu se trouve retardé pour 2 ans. Oui, les plans que je faisais dans une de mes lettres sont trop beaux pour être réalisé de si tôt. Tout ce qui m’est arrivé et qui paraissait être malheureux pour moi, a été pour mon bien, j’espère que Dieu ne m’abandonnera pas et qu’il en sera ainsi du reste. Les 18 mois que j’ai passé au Caucase m’ont rendu moins mauvais je tâcherai d’employer utilement les 2 ans qu’il me reste à passer, à devenir meilleur, digne de vous et du bonheur que je me promets auprès de vous. Ma santé est bonne, mes occupations sont les mêmes, la chasse me procure toujours beaucoup de plaisir. La semaine dernière j’ai tué...
5. Letter to a Hindoo (Письмо к индусу)
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Часть текста: interesting to me; indeed, the oppression of a majority by the minority of a people and the corruption which flows from it, is a phenomenon which has always occupied my mind and at present is entirely occupying my attention. I will endeavour to convey to you what I think, both in a particular and a general way, about those causes from which those dreadful calamities have arisen and do arise, of which you write in your letter and which are also mentioned in the two numbers of the Hindoo magazine you sent me. The causes, owing to which this astonishing spectacle arises, of the majority of the labouring classes submitting to a mere handful of idlers whom it permits to dispose not only of its labour but also of its very life, are always and everywhere the same; whether the oppressors and the oppressed belong to the same, or, as is the case in India and in other countries, where the dominant class belongs to an entirely different nation from those oppressed. It appears especially strange of India, for here we have a people of 200 millions of individuals, highly endowed with spiritual and physical powers, in absolute subjection to a small clique, composed of persons utterly alien in thought and aspiration and altogether inferior to those whom they enslave. These causes, as one can easily see from your letter, from the articles in «Free...