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Cлово "EXCEPTION"


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2. Война и мир. Том 4. Часть первая. Глава III
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3. Толстой Л. Н. - Мадзини Пьетро (Pietro Mazzini), 27 августа (9 сентября) 1901 г.
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4. Толстой Л. Н. - Ван Дейлю Г. Ф. (G. F. Van Duyl), 23 августа 1896 г.
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5. Le non agir (Неделание) - Вариант
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6. Толстой Л. Н. - Ергольской Т. А., 1 (15) марта 1851 г.
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7. Толстой Л. Н. - Мак-Уистер Марте (М. Mac-Whister), 10 сентября 1891 г.
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8. Толстой Л. Н. - Рамазесхану А. (A. Ramaseshan), 25 июля 1901 г.
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9. Толстой Л. Н. - Луазону Полю Гиацинту (Paul-Hyacinthe Loyson), 16 января 1903 г.
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2. Война и мир. Том 4. Часть первая. Глава III
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Часть текста: по-русски, чувствовал себя всё-таки растроганным, когда он явился пред notre très gracieux souverain[18] (как он писал) с известием о пожаре Москвы, dont les flammes éclairaient sa route.[19] Хотя источник chagrin[20] г-на Мишо и должен был быть другой, чем тот, из которого вытекало горе русских людей, Мишо имел такое печальное лицо, когда он был введен в кабинет государя, что государь тотчас же спросил у него: — M’apportez vous de tristes nouvelles, colonel? — Bien tristes, sire, — отвечал Мишо, со вздохом опуская глаза, — l’abandon de Moscou. — Aurait on livré mon ancienne capitale sans se battre,[21] — вдруг вспыхнув, быстро проговорил государь. Мишо почтительно передал то, чтò ему приказано было передать от Кутузова, именно то, что под Москвою драться не было возможности и, что так как оставался один выбор — потерять армию и Москву, или одну Москву, то фельдмаршал должен был выбрать последнее. Государь выслушал молча, не глядя на Мишо. — L’ennemi est-il en ville? — спросил он. — Oui, sire, et elle est en cendres à l’heure qu’il est. Je l’ai laissée toute en flammes,[22] — решительно сказал Мишо; но взглянув на государя, Мишо ужаснулся тому, чтò он сделал. Государь тяжело и часто стал дышать, нижняя губа его задрожала, и прекрасные голубые глаза мгновенно увлажились слезами. Но это продолжалось только одну минуту. Государь вдруг нахмурился, как бы осуждая самого себя за свою слабость. И, приподняв голову, твердым голосом обратился к Мишо: — Je vois, colonel, par tout ce qui nous arrive, — сказал он, — que la Providence exige de grands sacrifices de nous... Je suis prêt à me soumettre à toutes Ses volontés; mais dites moi, Michaud, comment avez-vous laissé l’armée, en voyant ainsi, sans coup férir, abandonner mon...
3. Толстой Л. Н. - Мадзини Пьетро (Pietro Mazzini), 27 августа (9 сентября) 1901 г.
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Часть текста: peuple n’a pas la moindre idée de l’existence de cette alliance. Si cependant cette alliance lui fut connue, je suis sûr que (tous les peuples lui étant également indifférents) son bon sens ainsi que son sentiment d’humanité lui montreraient que cette alliance exclusive avec un peuple plutôt qu’avec tout autre ne peut avoir d’autre but que de l’entraîner dans des inimités et peut être des guerres avec d’autres peuples et lui serait à cause de cela au plus haut point désagréable. A la question si le peuple, russe partage l’enthousiasme du peuple français? je crois pouvoir répondre que non seulement le peuple russe ne partage pas l’enthousiasme du peuple français (si cet enthousiasme existe en effet ce dont je doute fort), mais s’il savait tout ce qui se fait et se dit en France à propos de cette alliance, il éprouverait plutôt un sentiment de défiance et d’antipathie pour un peuple qui sans aucune raison se met tout à coup à professer pour lui un amour spontané et exception[n]el. Quant à la question: quelle est la portée de cette alliance pour la civilisalion en general, je crois être en droit de supposer que cette alliance ne pouvant avoir d’autre motif que la guerre ou la menace de la guerre dirigée contre d’autres peuples, son influence ne peut être que malfaisante. Pour ce qui est de la portée de cette alliance pour les deux ...
4. Толстой Л. Н. - Ван Дейлю Г. Ф. (G. F. Van Duyl), 23 августа 1896 г.
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Часть текста: Г. Ф. Ван Дейлю (G. F. Van Duyl). 1896 г. Августа 23. Я. П . Cher Monsieur, J’ai été très content de recevoir votre lettre avec la copie de celle très intéressante de monsieur Vanderver. 1 Je vous remercie pour vos félicitations, mais je vous prie de m’excuser pour la sincérité avec laquelle je me crois obligé de vous dire les raisons, pour lesquelles je n’ai pas répondu à vos précédentes lettres. 2 Vous attribuez à ma personnalité et à mes écrits une valeur que je ne leur attribue pas moi-même, et pour vous parler franchement, les choses trop flatteuses que vous me dites, me sont des plus désagréables. J’espère que vous ne me garderez pas rancune pour ma franchise, et ne cesserez pas de m’informer des choses intéressantes qui se passent dans votre pays, telles que celles dont vous venez de me faire part. Et pour commencer, je vous prie d’avoir l’obligeance de remettre la lettre ci-jointe à Mr. Vanderver. Ce que Mr. Vanderver vient de faire a selon moi une immense portée. Jusqu’à présent tous les refus au service militaire ont été motivés par des raisons de croyance religieuse, et ont été expliqués par les...
5. Le non agir (Неделание) - Вариант
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Часть текста: du deux forces fondamentales qui composent la résultante suivant laquelle se meut l’humanité: l’une la force de la routine, qui tache de retenir l’humanité dans la voie qu’elle suit, l’autre celle de la raison et de l’amour qui la pousse vers la lumière. M. Zola n’approuve pas que les nouveaux guides de la jeunesse française lui recommandent une foi qui ne lui paraît être ni bien claire ni bien arrêtée, et, de son côté lui recommande de croire à quelque chose qui lui paraît parfaitement claire et arrêtée, à la science et surtout au travail. Il existe un philosophe chinois, peu connu, nommé Laodzi, fondateur d’une doctrine religieuse (la première et la meilleure traduction de son livre «De la voie de la vertu» est une traduction française de Stanislas Julien) qui pose comme fondement de sa doctrine le tao, mot qui se traduit par raison, voie, vertu. Or le tao ne peut être atteint que par le non agir, selon la traduction de M. Julien. Tous les malheurs de l’humanité proviennent selon Laodzi non pas de ce que les hommes ont négligé de faire ce qui était...
6. Толстой Л. Н. - Ергольской Т. А., 1 (15) марта 1851 г.
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Часть текста: la promenade de Sokolniki7 par un temps détestable, c’est pourquoi je n’ai rencontré personne des dames de la société, que j’avais envie[vi] de voir. Comme vous prétendez, que je suis un homme à épreuve, je suis allé parmi le plebs, dans les tentes bohémiennes. Vous pouvez aisément vous figurer le combat intérieur, qui s’engagea là-bas pour et contre; au reste j’en sortis victorieux, c. à d. n’ayant rien donné que ma bénédiction aux joyeux descendants des illustres Pharaons. — Nicolas trouve que je suis un compagnon de voyage très agréable si ce n’était ma propreté, il se fâche, de ce que, comme il le dit, je change de linge 12 fois par jour. Moi je le trouve aussi compagnon très-agréable, si ce n’était sa saleté. Je ne sais lequel de nous deux a raison. — J’ai écrit à Valérien8 de Moscou, que j’avais gagné 400 r.: je crains que cela ne vous donne l’alarme, vous croirez, que je joue et jouerais[ai] de nouveau. — Tranquillisez-vous, c’est une exception, que je me suis permise, seulement avec M-r Zoubkoff. 9 — Ce n’est que depuis mon arrivée à Cazan, que je commence à reprendre ma bonne humeur et j’en profite pour vous écrire. — Tout ce temps ce n’est pas que j’ai été de mauvaise humeur mais je n’était pas gai. —Vous en devinerez facilement la cause. Vous avez tâché de paraître peu chagrinée, à notre départ; je l’ai remarqué et je vous en remercie. — Avez-vous reçu les portraits — et en etes vous contente. — J’ai tout à fait oublié Рукой гр. H. H. Толстого: le porte monnaie...
7. Толстой Л. Н. - Мак-Уистер Марте (М. Mac-Whister), 10 сентября 1891 г.
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Часть текста: quite sincere — I hope you will be the same to me — and tell you what seems to me not right in your way of living. I think that to abandon husbands wifes and children is a mistake. A Christian I think must learn to live with all men as with brothers and sisters; and husbands, wifes and children should not make an exception. The more it is difficult for a Christian to establish brotherly relations between himself and his nearest relations, the more he must try to do it. The other thing that I do not approuve is that you do not allow your children to mix with the external world. I think a Christian must not enclose himself and his children in a narrow circle of his com[m]unity, but must try to act towards the whole world as if the whole world where his community and so he must educate the children. Please explain to me your words «when we received the light». How did you receive it? and what do you understand by the word «light»? Please also give me more details of the history of your community, I will be very thankful for it. My adress is: Tula , Russia. Thanking you again for your letter I remain Yours truly L. Tolstoy. 22 September. Дорогая сестра, Очень был рад получить ваше письмо и узнать, что есть люди, живущие так, как вы, и что вы знаете меня и хотите вступить со мною в общение. Пожалуйста, сообщите мне побольше подробностей о вашей жизни: есть ли у вас собственность? как вы ею распоряжаетесь? непротивленцы ли вы? То, о чем вы пишете: что вы берете на себя низшие обязанности, трудясь, как прислуга, работаете собственными руками и что вы освободились от принадлежности к какому-либо признанному вероисповеданию, — представляется мне истинными условиями христианской...
8. Толстой Л. Н. - Рамазесхану А. (A. Ramaseshan), 25 июля 1901 г.
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Часть текста: by all. Such a state can be attained only by the development of true religion. By the words «true religion» I mean the fundamental principles of all religions which are 1) the consciousness of the divine essence of human soul and 2) respect for its manifestation — human life. Your religion is very old and very profound in its metaphysical definition of the relation of man to the spiritual All — the Atman; but I think it was maimed in its moral, i. e. practical application to life; by the existence of caste. This practical application to life, so far as I know, has been made only by Jainism, 1 Buddhism and some of your sects, such as Kabir Panchis 2 in which the fundamental principle is the sacredness of life and consequently the prohibition to take the life of any living being, especially of man. All the evils that you experience — the famine and chat is still more important, the depravement of your people by factory life — will last as long as your people consent to kill their fellowmen and to be soldiers (Sepoys). Parasites feed only on unclean bodies. Your people must try to be morally clean and in so far as they are clean from murder or...
9. Толстой Л. Н. - Луазону Полю Гиацинту (Paul-Hyacinthe Loyson), 16 января 1903 г.
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Часть текста: Loyson). 1903 г. Января 16. Я. П. 16 Janvier 1903. Iasnaya Poliana. Cher Monsieur, J’ai reçu votre lettre, ainsi que votre article que j’ai lu avec grande attention. Je regrette de ne pouvoir vous dire que le jugement que vous portez sur mes écrits soit parfaitement juste. Vous me comblez d’éloges et en même temps vous me reprochez des lacunes singulières dans mes raisonnements et même l’absence d’une base. Tous mes critiques, et c’est avec regret que je dois dire, — vous n’y faites pas exception, — me reprochent mes attaques ou bien contre les églises, ou bien contre la science, ou l’art et surtout contre toute espèce de violence employée par les gouvernements. Et les uns qualifient cela tout simplement de bêtise ou de folie, les autres — d’inconséquence ou d’extravagance. On me donne toute espèce de titre flatteurs: de génie, de réformateur, de grand homme, etc. et en même temps on ne m’accorde pas le plus simple bon sens, celui de voir que les églises, la science, l’art, les gouvernements sont des choses indispensables pour les société dans leur état actuel. Cette étrange contradiction provient de ce que mes critiques ne veulent pas pour me juger quitter leur point de vue et se mettre au mien qui est cependant bien simple. Je ne suis ni un réformateur, ni un philosophe, ni encore moins un apôtre. Je ne suis qu’un homme qui, après avoir vécu une très mauvaise vie, a compris que la véritable vie ne consiste que dans l’accomplissеment de la volonté de Celui qui m’a mis dans ce monde et qui, après...