Поиск по творчеству и критике
Cлово "INDIFFERENCE"
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Часть текста: des défauts ce n’est pas la franchise, qui me manque. Eh bien je vous direz avec cette franchise, que votre lettre m’a fait verser des larmes. Pourquoi avoir de ces tristes pensées? — Vous dites que vous n’espérez plus revoir Nicolas. — Pourquoi le croire, espérons en D'ieu. Dans 4 ou 5 mois de nouveau nous nous réunirons tous à Ясное, de nouveau recommencerons ces douces causeries. — Vous êtes trop nécessaire pour notre bonheur pour que Dieu ne vous conserve point. — J’ai pris la ferme décision de rester servir au Caucase. Je ne suis pas encore décidé, si ce sera au militaire ou au civil auprès du Prince Voronzoff,3 mon voyage à Tifliss4 décidera de la chose. Dites à Valérien et à Marie,5 que je leur fait cadeau de mon piano et que je les prie de ne pas me remercier; car il n’y a aucun mérite à faire cadeau d’une chose dont on n’a pas besoin. Envoyez le leur, je vous prie. — Faites dire, je vous prie, à Arsénieff6 que la nouvelle de sa convalescence m’a fait beaucoup de plaisir et que je l’embrasse tendrement malgré sa figure...
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Часть текста: not escape to accept true Christianity, which alone has the answer to those questions of life, that now face all men and call for a solution, which neither Buddhism nor Confucianism can give. All the great teachers of humanity have at all time preached the brotherhood of men, but it is Christianity alone, which points out the way, whereby this can be attained. You have translated my works, such as «the Kreuzer Sonata» etc., but I very much wish to make the Japanese public familiar with true Christianity, as I think its founder conceived it. This, as far as I could, I expounded in my book: «The kingdom of god is within you». I think, these books or, at least, an exposition of their contents might be of interest to the Japanese people and might show them, that Christianity is not a collection of miracle narratives, but a very srtict exposition of that idea of human life, which gives wise neither to despair, nor to indifference about ones conduct, but which leads to a most definite moral activity. I advised your friends to order from Geneva those books, which you would like to have. But if you wish it, I will myself send you for translation the book, on which I am now engaged. As far, as I have been able to make it, it contains the most condensed and precise exposition of the Christian teaching. I gave Toku-Tomi some articles 3 to be sent to you. If these will prove of any use to you, I shall be very pleased. Now farewell. I would grasp your hand in friendship. I send you every...
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Часть текста: pour tous ceux qui ont conservé un reste de dignité. Bientôt ce sera le tour de la Hollande, de Rome, que sais-je. Il n'y a plus de foi, plus de rois, plus de justice . Je vous préviens que si vous ne me dites pas que nous avons de bonnes nouvelles de Haugwitz et que [nous] aurons la guerre et la guerre à outrance avec ce monstre, cet antichrist — ma parole d'honneur j'y crois — si vous ne me dites pas que nous avons la guerre, si vous vous permettez encore de pallier toutes les infamies de cet homme, ce n'est pas un homme, que dieu me pardonne, c'est pire — je ne vous connais plus, vous n'ètes plus mon ami, мой верный раб, comme vous dites. Ah, si j'étais homme!![848] — Ну здравствуйте, здравствуйте. Je vois que je vous fais peur.[849] Хотите чаю? Так говорила фрейлина и приближенная императрицы Марьи Федоровны, отпросившаяся от службы на один вечер для того, чтобы сделать у себя в этот вечер un thé,[850] на который, разосланными накануне записочками с[851] красным лакеем, приглашены были, по мнению фрейлины, самые замечательные люди Петербурга, цвет общества, la crème de la société.[852] В записочках было написано: Si vous n'avez rien de meilleur à faire, Monsieur le comte или mon Prince, je serais bien charmée de vous voir chez moi entre 7 et 10 heures. Annette D.[853] [854] Кроме желания воспользоваться свободным вечером, Annette Д., может быть и не без основания, считала себя[855] государственным лицом, на котором лежали политические обязанности. Она желала сообщить впечатления, произведенные в ней последними известиями о пребывании Бонапарта в Италии, вчера только полученные при дворе императрицы Марьи Федоровны.[856] Некоторые из гостей,...
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Часть текста: de peine. — Je vous[ai] écrit pendant l’été passé plus de 5 lettres, dont comme je vois, la moitié ne vous est pas parvenu. Au nom du Ciel, chère tante n’expliquez jamais mon silence par l’indifférence; vous savez mieux que personne qu’elle m’est impossible vous savez que la plus grande affection que j’ai au coeur est et sera toujours celle que je vous porte, ne me blessez donc pas en disant que vous en doutez que vos lettres ne me font probablement pas de plaisir. Je vous ai dit et je répete du fond de mon coeur (je vous vénère trop pour gâter le sentiment que je vous porte par un mensonge) que vos lettres ne me font pas du plaisir, mais qu’elles me font un bien immense, que je deviens tout autre, je deviens meilleur après avoir reçu une de vos lettres, que je les relis 80 fois, que je suis si heureux quand je les reçois, que je ne puis rester en plaçe que je voudrais les lire à tout le monde que si je m’étais laissé entraîné à quelque chose...
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Часть текста: г. Января 17. Москва. Chère tante! La petite lettre, bien courte, mais en revanche, bien peu agréable que j’ai reçue de vous à Toula,1 m’a beaucoup chagriné, et je dirai même m’a fait beaucoup de peine, si quelque chose venant de vous pouvait me faire de la peine. — Pourquoi croire, que je n’ai pas assez de bon sens et de délicatesse, pour faire voir à un frère,2 que de le revoir est un grand bonheur pour moi et que, si je le quitte ce n’est qu’à regret. Soyez persuadé[e], que malgré l’apparence de froideur et d’indifférence dans nos relations il est plus convaincu que jamais, que je l’aime tout autant, que je l’ai toujours aimé c. à d. autant que je puis aimer et que lui est mieux disposé envers moi depuis notre entrevue qu’il ne l’a été pendant notre séparation. 3 J’ai abandonné l’entreprise des postes, à cause de ce qu’on n’a pas voulu m’ac[c]order les conditions que j’avais demandées. — Je n’ai rien perdu dans cette affaire, si ce n’est un peu de tems et d’argent, dont je ne puis être remboursé qu’au premier de Février. 4 Kiréevsky5 et Языковъ6 sont à Moscou et de nouveau, amis cochons, au point qu’ils logent ensemble. Hier je les ai vu[s] au Théatre; mais comme de raison je n’ai approché ni l’un ni l’autre; ce soir j’irai au club et me ferai présenter à Kiréevsky. — Dites à Serge...
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Часть текста: Tante! Les absents ont toujours tort. Vos lettres deviennent de plus en plus courtes et rares. 1 Involontairement on oublie ceux qu’on a aimé, si rien ne les rappèle, les liaisons se relâchent et se changent en indifférence. Malheureusement je ne le ressens que trop; il y a trois ans, je croyais avoir des amis et à présent je me vois parfaitement seul et etranger à touts ceux qui j’aime. Même l’affection dans laquelle j’avais le plus de confiance la vôtre, commence à se refroidir à cause d’une trop longue séparation. Et ceci m’est d’autant plus pénible, que je ne saurais me priver de votre tendresse, plus je suis de tems sans vous voir et sans recevoir de vos lettres plus je pense à vous et sens, que le respect et l’amour que je vous porte ne pouront jamais ni changer, ni diminuer. Chère tante pardonnez moi de chagrin que vous causera cette lettre. Je sacrifie votre tranquillité au plaisir, que je ressens de vous parler et de penser à vous dans un moment de découragement et de tristesse. Depuis quelque tems je ne puis vaincre ma tristesse: sans amis, sans occupations sans intérêt pour tout, ce qui m’entoure je yois passer les meilleures années de ma vie sans fruit ni pour moi ni pour les autres et ma position supportable pour un autre, avec ma sensibilité, commence à me devenir de- plus en plus pénible. — Je paye bien cher pour les fautes de ma. jeunesse... Ecrivez moi souvent chère tante; il n’y a rien que me donne la joie et le courage comme quelques lignes de vous qui me prouvent, que vous ne cessez de m’aimer ...
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Часть текста: Толстой Л. Н. - Холу Болтон (Bolton Hall), 15 (28) марта 1908 г. 81. Болтон Холу (Bolton Hall). 1908 г. Марта 15/28. Я. П. Dear Sir, Thank you for your letter and the marked article in the Single Tax Review. 1 I am very glad to hear, that the question in your country seems advancing. The indifference in Russia to this capital question is an inexplicable puzzle for me. I have tried to propose the system to our members of the government 2 and of the Duma, but they seem all so much occupied with all kinds of supperficial matters, that they have no time and no sense for the capital question. But the question must be solved and very soon. So that I quite agree with you, that there are great times to live in. Yours truly Loo Tolstoy. 28 March 1908. Милостивый государь, Благодарю вас за письмо и отмеченную статью в «Single Tax Review». 1 Я очень рад слышать, что разрешение этого вопроса подвигается в вашей стране вперед. Безразличие России к этому важнейшему вопросу является для меня необъяснимой загадкой. Я пытался предлагать эту систему членам правительства 2 и Думы, но они все кажутся столь запятыми разными незначительными делами, что не имеют ни времени, ни ума для этого серьезного вопроса. Однако вопрос этот должен быть решен, и в скором времени. Так что я совершенно с вами согласен, что нам предстоит пережить великие времена. Искренне ваш Лев Толстой. 28 марта 1908. Примечания Печатается но копировальной книге № 8, л. 157, куда вклеена рукописная копия Д. П. Маковицкого. Дата письма нового стиля. Основание датировки: помета Д. П. Маковицкого в копировальной книге, где копия вклеена среди писем от середины марта. О Болтон Холе (р. 1854) см. т. 56, стр. 426—427. При письме от 3 февраля н. ст. 1908 г. Болтон Хол прислал номер журнала «The Single Tax Review» 1908, 3 (Vol. 7). Он писал об успехах возглавляемой им лиги единого налога. 1 В присланном номере Болтон Хол отметил несколько страниц, на которые просил Толстого обратить внимание. Журнал хранится в яснополянской библиотеке. 2 См. т. 77, письмо № 192.
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Часть текста: him to know it. Henry George has sent me all his books. I know some of them, but some others, as the «Perplexed Philosopher» and others, were new to me. The more I know of him, the more I esteem him and am astonished at the indifference of the civilized world to his work. If the new Tsar were to ask me, what I would advise him to do, I would say to him: use your autocratic power to abolish the land property in Russia and to introduce the single tax system; and then give up your power and the people a liberal constitution. I write this to you, because I know, that you are one of the coworkers of H. George, and that you hold his ideas. I wish you success in your work. Yours truly Leo Tolstoy. Дорогой г. Кросби, Пишу вам это письмо только для того, чтобы сказать вам, что г-н Владимир Чертков, о котором вы, я уверен, уже слышали от меня и который обратится к вам по поводу некоторых литературных дел, т. е. издания кое-каких переводов моих сочинений, мой большой друг, и вы очень обяжете меня, если поможете ему в его работе. Из письма, полученного мною от сотрудника журнала «Пророк труда», я догадываюсь, что вы сообщили издателю мое мнение о его газете. Благодарю вас за это, так как я очень ценю его деятельность и хочу, чтобы он знал об этом. Генри Джордж прислал мне все свои книги. Некоторые из них мне знакомы, но другие, как «Запутавшийся философ» и пр., оказались для меня новыми. Чем больше я узнаю его, тем больше я его уважаю и удивляюсь равнодушию цивилизованного мира к его деятельности. Если бы новый царь спросил у меня, что бы я ему посоветовал делать, я бы сказал ему: употребите свою неограниченную власть на уничтожение земельной собственности в...
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Часть текста: André1 à Valérien2 à Копыловъ3 à Федуркинъ4 et à Mademoiselle (Наталья Андреевна) Бееръ. 5 Vous examinerez ces lettres et si vous trouvez qu’il faut les envoyer, envoyez les. 6 Pour ce qui concerne celle que j’écris à Valérien, vous aurez la bonté de l’envoyer съ нарочнымъ avec les deux papiers ci- joints. — Je prie Valérien de ce charger de mes affaires et de la vente de Мостовая et de Грецовка. Ne combattez pas cette résolution; ell[e] est fermement prise. Si non seulement la vente de M. et Грец., mais même la vente de la moitié de Ясное pouvait me délivrer de mes dettes et des tourments qu’elles me causent, je me trouverai[s] parfaitement heureux. Soyez si bonne joignez à ma lettre à V. une de votre part qui l’engage à ne pas me refuser. — Dites à Serge, qu’il ne se donne pas la peine de me répondre; son silence m’a prouvé son indifférence, c’est à tort que vous m’accusez d’inconséquence, j’ai engagé Serge à régir constament Ясное et Valér. de vérifier André. A present c’est Valér. que je prie de prendre sur lui tous ces soins. André vous dira, si la lettre à Копыловъ peut être utile. Pour ce que [qu’est] de la lettre de M-elle Beier, quoiqu’elle soit fort- extravagante, M-elle Beier, l’est encore plus. Je pense donc qu’on peut la lui envoyer. — Dites moi je vous prie où est Дьяковъ. 7...